"... Mon athl te, charm e de sa d faite et de ma valeur obstin e, se livra avec transport la nouvelle lutte, qui, moins rapide et plus vivement sentie, nous plongea dans une mer de d lices. Remis de notre trouble, nous couvr mes r ciproquement de baisers enflamm s tous les charmes dont nous avions joui, et nous conv nmes de la r serve la plus s v re devant le monde et les domestiques, et de l'abandon le plus parfait dans les t te- -t te. Chaque jour me d couvrait de nouveaux charmes dans ma conqu te, qui, s'attachant de plus en plus par la jouissance, m'aimait avec la tendresse d'une amante. L'appartement de mon l ve communiquait au sien par sa garde-robe; et le soir, quand tout le monde tait endormi, je passais dans son alc ve chercher le d lire dans ses bras, et je rentrais chez moi avant le point du jour. Nous jouissions sans trouble de cette f licit , quand Valbouillant revint de son voyage, apr s avoir termin ses affaires..."